"Le potier brûle un peu de lui-même à chaque cuisson 
et passe par des moments d'exaltation et d'inquiétude...
Il est à craindre que le potier soit un fou plus qu'un sage.
Il veut vivre, il veut brûler, il veut que ca change.
Le potier est homme de passion et la passion doit être étayée 
par l'amour du métier.
Le jour où il deviendrait un sage, il fermerait la porte de son four. 
Pour le moment, il cuit et c'est la fièvre..."
Annie Fourmanoir